Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice & Marek Štilec - Koželuch: Symphonies, Vol. 1 (2017) [Hi-Res]

Tracklist
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01. Symphony in A Major, Op. 24 No. 2, P. I : 7: I. Allegro moderato - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
02. Symphony in A Major, Op. 24 No. 2, P. I : 7: II. Poco adagio - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
03. Symphony in A Major, Op. 24 No. 2, P. I : 7: III. Menuetto: Allegretto - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
04. Symphony in A Major, Op. 24 No. 2, P. I : 7: IV. Finale: Prestissimo - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
05. Symphony in C Major, Op. 24 No. 1, P. I : 6: I. Adagio-Allegro - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
06. Symphony in C Major, Op. 24 No. 1, P. I : 6: II. Poco Adagio - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
07. Symphony in C Major, Op. 24 No. 1, P. I : 6: III. Menuetto: Vivace - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
08. Symphony in C Major, Op. 24 No. 1, P. I : 6: IV. Presto con fuoco - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
09. Symphony in D Major, Op. 22 No. 1, P. I : 3: I. Poco adagio-Allegro - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
10. Symphony in D Major, Op. 22 No. 1, P. I : 3: II. Poco adagio - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
11. Symphony in D Major, Op. 22 No. 1, P. I : 3: III. Menuetto: Vivace - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
12. Symphony in D Major, Op. 22 No. 1, P. I : 3: IV. Presto con fuoco - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
13. Symphony in G Minor, Op. 22 No. 3, P. I : 5: I. Allegro - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
14. Symphony in G Minor, Op. 22 No. 3, P. I : 5: II. Adagio - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice
15. Symphony in G Minor, Op. 22 No. 3, P. I : 5: III. Presto - Czech Chamber Philharmonic Orchestra Pardubice

Apparemment, Koželuch avait ce que l’on appelle « une grande gueule » et n’hésitait pas à s’en prendre à ses contemporains, Mozart et Beethoven en tête – Beethoven qui le lui rendit bien, d’ailleurs. Bon, personne n’ira jamais affirmer que Koželuch est l’égal du génial sourd ; mais on peut quand même lui rendre justice et écouter ses symphonies, écrites entre les années 1785 et jusqu’au début du XIXe siècle, dans un langage viennois très en phase avec son temps, mais dont certaines tournures s’orientent malgré tout vers le premier Schubert. On lui connaît une trentaine de symphonies, ce qui n’est pas énorme lorsque l’on considère que son œuvre compte quelque quatre cents ouvrages. Outre des dizaines de concertos et sérénades, il a surtout écrit plus de soixante trios et autant de sonates pour piano, mais aussi des quantités impressionnantes de quatuors, ballets, Lieder, cantates ainsi que quelques opéras – assez peu, en ce qui concerne cette dernière forme. Voici enregistrées quatre de ses symphonies de la période 1785-1790, quand il jouissait d’une solide réputation à Vienne en tant que compositeur de talent. On remarquera en particulier une symphonie en sol mineur d’une grande force dramatique.

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