María Savastano - G.A. Ristori: Cantatas for Soprano & Oboe concerto (2017) [Hi-Res]

  • 01 Jul, 18:46
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Artist:
Title: G.A. Ristori: Cantatas for Soprano & Oboe concerto
Year Of Release: 2017
Label: Audax
Genre: Classical, Opera, Baroque Era
Quality: flac lossless / flac 24bits - 96.0kHz +Booklet
Total Time: 01:08:09
Total Size: 335 mb / 1.3 gb
WebSite:

Tracklist
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01. Lavinia a Turno, M.144: I. Recitativo. Deh! Senti, o Turno amato!
02. Lavinia a Turno, M.144: II. Aria. Placa lo sdegno, oh Dio
03. Lavinia a Turno, M.144: III. Recitativo. Ma, oh Dio, tu non rispondi?
04. Lavinia a Turno, M.144: IV. Aria. M'affretta il padre all'ara
05. Didone abbandonata: I. Marcia
06. Didone abbandonata: II. Recitativo. Dunque il perfido Enea
07. Didone abbandonata: III. Aria. Quante volte in dolci accenti
08. Didone abbandonata: IV. Recitativo. Ma qual raggio mi scorge
09. Didone abbandonata: V. Aria. Contra di te sdegnati
10. Nice a Tirsi: I. Recitativo. Ah! Crudo Amore
11. Nice a Tirsi: II. Aria. Non v'è duolo uguale al mio
12. Nice a Tirsi: III. Recitativo. Ma già che il crudo Amore
13. Nice a Tirsi: IV. Aria. È d'Amor dolce l'Impero
14. Oboe Concerto in E-Flat Major: I. Andante
15. Oboe Concerto in E-Flat Major: II. Allegro
16. Oboe Concerto in E-Flat Major: III. Grave
17. Oboe Concerto in E-Flat Major: IV. Allegro

Dans le domaine toujours aussi étonnant des premières discographiques mondiales, voici quelques œuvres du compositeur italien Giovanni Alberto Ristori (1692/93-1753), un contemporain donc de Bach ; pas seulement contemporain mais aussi voisin, puisque la majeure partie de la carrière se déroula à la cour de Dresde, une petite trentaine de lieues de Leipzig où officiait le Cantor. Il s’agit de cantates écrites aux alentours de 1750 – la grande maturité donc, lorsqu’il fut nommé second Kapellmeister aux côtés de Hasse – dans un style résolument à l’italienne, ce qui ne surprendra pas lorsque l’on sait que le compositeur s’était taillé un fameux nom comme compositeur de la musique italienne dès ses premières pérégrinations hors d’Italie. On reconnaîtra dans les cantates le modèle très particulier « à la napolitaine », d’autant plus reconnaissable que Ristori avait été envoyé par la cour de Dresde pendant quelque saisons à Naples vers 1740 pour y accompagner sa propre fille, suivante de la princesse Maria Amalia, et où il en profita pour se tailler quelques grand succès dans le théâtre San Carlo fraîchement construit. À l’écoute de ces splendides cantates, on ne peut que souhaiter que d’autres musiciens, à l’instar de l’Ensemble Diderot qui officie ici, se saisiront des œuvres de ce compositeur dont l’ample répertoire n’attend que d’être enfin exhumé – on lui connaît quand même une vingtaine d’opéras, des dizaines d’œuvres sacrées de grande ampleur allant de la messe au Requiem à l’oratorio, des symphonies et des concertos.




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