Krystian Zimerman - Schubert: Piano Sonatas D 959 & 960 (2017) [Hi-Res]
Artist: Krystian Zimerman
Title: Schubert: Piano Sonatas D 959 & 960
Year Of Release: 2017
Label: Deutsche Grammophon (DG)
Genre: Classical, Piano
Quality: flac lossless / flac 24bits - 96.0kHz +booklet
Total Time: 01:22:06
Total Size: 293 mb / 1.5 gb
WebSite: Album Preview
TracklistTitle: Schubert: Piano Sonatas D 959 & 960
Year Of Release: 2017
Label: Deutsche Grammophon (DG)
Genre: Classical, Piano
Quality: flac lossless / flac 24bits - 96.0kHz +booklet
Total Time: 01:22:06
Total Size: 293 mb / 1.5 gb
WebSite: Album Preview
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01. Schubert: Piano Sonata No.20 In A Major, D.959-1. Allegro
02. Schubert: Piano Sonata No.20 In A Major, D.959-2. Andantino
03. Schubert: Piano Sonata No.20 In A Major, D.959-3. Scherzo (Allegro vivace)
04. Schubert: Piano Sonata No.20 In A Major, D.959-4. Rondo (Allegretto)
05. Schubert: Piano Sonata No.21 In B Flat Major, D.960-1. Molto moderato
06. Schubert: Piano Sonata No.21 In B Flat Major, D.960-2. Andante sostenuto
07. Schubert: Piano Sonata No.21 In B Flat Major, D.960-3. Scherzo (Allegro vivace con delicatezza)
08. Schubert: Piano Sonata No.21 In B Flat Major, D.960-4. Allegro ma non troppo
À l’approche de son soixantième anniversaire, le pianiste polonais Krystian Zimerman a estimé qu’il était temps de « trouver le courage de s’attaquer à ces œuvres de Schubert et aux dernières sonates de Beethoven. » Certes il joue ces partitions depuis trente ans mais affirme les avoir toujours craintes énormément du fait de son grand respect pour leurs auteurs. Peut-être a-t-il eu peur, précise-t-il, qu’il soit trop tard s’il attendait plus longtemps. Zimerman joue sur un piano moderne certes, mais conçu pour avoir les mêmes caractéristiques que les instruments que jouait Schubert. Par rapport à un piano à queue d’aujourd’hui, les marteaux frappent les cordes à un autre endroit et augmentent ainsi la capacité de celles-ci à soutenir un son chantant – il est vrai que cela met aussi en vibration des harmoniques différentes et que le piano peut paraître bizarrement accordé. La mécanique est en outre plus légère. Sur un piano à queue moderne, « les nombreuses notes répétées de Schubert risquent de se transformer en du Prokofiev », précise le pianiste, et en effet de la sorte son Schubert sonne bien comme du Schubert, quand bien même sur piano moderne et pas sur fortepiano. Zimerman estime que ces deux ultimes sonates contribuent énormément à nous montrer la grandeur de Schubert, et qu’avec elles, le compositeur « passe à la vitesse supérieure, ose des choses radicalement nouvelles d’un point de vue harmonique et polyphonique. Par rapport à ses sonates antérieures, on pourrait presque imaginer qu’elles sont d’un autre compositeur. »