Bergen Philharmonic Orchestra - Vaughan Williams: Job & Symphony No. 9 (2017)

  • 20 Jan, 08:14
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Artist:
Title: Vaughan Williams: Job & Symphony No. 9
Year Of Release: 2017
Label: Chandos
Genre: Classical, Orchestral
Quality: flac lossless +Booklet
Total Time: 01:17:37
Total Size: 314 mb
WebSite:

Tracklist
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01. Job: Scene 1: Introduction-Pastoral Dance-Satan's Appeal to God
02. Job: Scene 1: Sarabande of the Sons of God
03. Job: Scene 2: Satan's Dance of Triumph
04. Job: Scene 3: Minuet of the Sons of Job and Their Wives
05. Job: Scene 4: Job's Dream. Dance of Plague, Pestilence, Famine and Battle
06. Job: Scene 5: Dance of the Messengers
07. Job: Scene 6: Dance of Job's Comforters. Job's Curse. A Vision of Satan
08. Job: Scene 7: Elihu's Dance of Youth and Beauty
09. Job: Scene 7: Pavane of the Sons of the Morning
10. Job: Scene 8: Galliard of the Sons of Morning
11. Job: Scene 8: Altar Dance
12. Job: Scene 9: Epilogue
13. Symphony No. 9 in E Minor: I. Moderato maestoso
14. Symphony No. 9 in E Minor: II. Andante sostenuto
15. Symphony No. 9 in E Minor: III. Scherzo: Allegro pesante
16. Symphony No. 9 in E Minor: IV. Andante tranquillo


Il est bien dommage que de ce côté de la Manche, on ne donne jamais les œuvres de Vaughan Williams, hormis l’occasionnelle Fantaisie sur un thème de Tallis. Cet album (le début d’une nouvelle intégrale des extraordinaires Symphonies de RVW chez Chandos après Thomson et Hickox ?) signé de l’Orchestre Philharmonique de Bergen placé sous la direction d’Andrew Davis propose deux chefs-d’œuvre, l’un de la pleine maturité, le ballet Job, l’autre de l’ultime sagesse puisque le compositeur affichait quelque quatre-vingt-cinq printemps, la Neuvième et dernière symphonie (encore un compositeur qui sera arrivé au chiffre fatidique). Job dépeint plus ou moins les 26 gravures de William Blake pour le Livre de Job, dans ce que Vaughan Williams appelle « Un masque pour danser », le masque en question étant le terme caractérisant le spectacle élisabéthain « masque » mêlant chant, danse, poésie etc. La partition déborde littéralement de vigueur, de lyrisme, d’idées à la fois modernes et délibérément archaïques, dans une noblesse aristocratique d’écriture que seul peut développer un compositeur britannique. La Neuvième Symphonie de 1957 dénote l’ardeur du compositeur à explorer, jusqu’au dernier souffle, de nouvelles sonorités – trois saxophones souvent au bord de l’hystérie, ainsi qu’un bugle lyrique en diable en plus de l’orchestre moderne au grand complet – et des combinaisons sonores inouïes, dans le sens premier du terme. À ne pas manquer!





  • tiger
  •  20:37
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Thanks a lot.
  • platico
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Gracias....
  • tubarec
  •  20:44
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thanks!!!! maybe lossless??