Sharon Kam, Isabelle von Keulen, Ulrike-Anima Mathé, Volker Jacobsen & Gustav Rivinius - Mozart, Brahms & Reger: Klarinettenquintette (2015) [Hi-Res]

Tracklist
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01. Clarinet Quintet, Op. 115: I. Allegro in B Minor
02. Clarinet Quintet, Op. 115: II. Adagio in B Major
03. Clarinet Quintet, Op. 115: III. Andantino in D Major
04. Clarinet Quintet, Op. 115: IV. Con moto in B Minor
05. Clarinet Quintet in A Major, Op. 146: I. Moderato ed amabile
06. Clarinet Quintet in A Major, Op. 146: II. Vivace
07. Clarinet Quintet in A Major, Op. 146: III. Largo
08. Clarinet Quintet in A Major, Op. 146: IV. Poco allegretto
09. Clarinet Quintet in A Major, K. 581 "Stadler-Quintett": I. Allegro
10. Clarinet Quintet in A Major, K. 581 "Stadler-Quintett": II. Larghetto
11. Clarinet Quintet in A Major, K. 581 "Stadler-Quintett": III. Menuetto
12. Clarinet Quintet in A Major, K. 581 "Stadler-Quintett": IV. Allegretto con variazioni
13. Werkeinführung: Reger muss viel gebracht werden ...
14. Werkeinführung: Die Klarinette: Klang und Repertoire
15. Werkeinführung: Mozart, Brahms und Reger
16. Werkeinführung: Der Einfluss der Instrumentalisten
17. Werkeinführung: Regers später freier Stil
18. Werkeinführung: Zum langsamen Satz
19. Werkeinführung: Finale: Variationen


« [...] Sharon Kam et ses partenaires décrochaient déjà l'or chez Mozart. Nous voici de nouveau à genoux. Dès les premières mesures, leur Opus 115 de Brahms, nous envoûte par la délicatesse proprement inouïe de la sonorité de Kam, sa façon de tantôt s’immerger dans les cordes, tantôt s’en détacher – cordes dont la palette claire et assez brillante, mêmes dans le pianissimo, tranche délicieusement avec toutes les nuances de mat dont joue la clarinette. Et le vibrato raffiné des archets offre plus qu’un écrin, une réplique appropriée mesure après mesure, avec une mention particulière pour les interventions somptueuses du violoncelliste Gustav Rivinius. [...] L’œuvre de Reger, sommet de sa production chambriste, montre le compositeur enfin serein [...] Le souffle millimétré de Kam (parfois audible) flatte sans narcissicisme les couleurs mordorées d’une partition automnale. Le quatuor participe à l’établissement d’un lyrisme qui côtoie l’atonalité pour créer cette atmosphère envoûtante et comme en apesanteur. Dans une discographie assez restreinte mais très relevée (Karl Leister et Sabine Meyer essentiellement), c’est une nouvelle référence. » (Diapason, mars 2016 / Jean-Claude Hulot)

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