Federico Albanese, Matthew Herbert, Francesco Tristano - Neue Meister Live in Berlin (2017) [Hi-Res]
Artist: Federico Albanese, Matthew Herbert, Francesco Tristano, Deutsches Kammerorchester Berlin, Pascal Schumacher, Lydia Brotherton, Fabian Russ, David Panzl, Jacques Ammon, Alon Sariel
Title: Neue Meister Live in Berlin
Year Of Release: 2017
Label: Neue Meister
Genre: Classical
Quality: flac 24bits - 44.1kHz +Booklet
Total Time: 01:35:15
Total Size: 973 mb
WebSite: Album Preview
TracklistTitle: Neue Meister Live in Berlin
Year Of Release: 2017
Label: Neue Meister
Genre: Classical
Quality: flac 24bits - 44.1kHz +Booklet
Total Time: 01:35:15
Total Size: 973 mb
WebSite: Album Preview
01. Unknown Touch (Live)
02. Echoes and Drones Orchestra Version (Live)
03. Shadowland Suite (Orch. Hüseyin Evirgen) [Live]
04. Neihou (Live)
05. Black is the Colour (Arr. By Tim Jäkel) [Live]
06. Metal Zone (Live)
07. Bach Dreams: I. Herr, unser Herrscher (After Johannespassion, BWV 245) [Live]
08. Bach Dreams: II. Sequenz (After Brandenburg Concerto No.5 in D Major, BWV 1050) [Live]
09. Bach Dreams: III. Partita (After Violin Partita No. 3 in E Major, BWV 1006) [Live]
10. Nedudim (Wanderings): I. — [Live]
11. Nedudim (Wanderings): II. — [Live]
12. Nedudim (Wanderings): III. — [Live]
13. Further (Arr. By Max Knoth) [Live]
Ce sont des noms dont la plupart – hormis Francesco Tristano – n’éveilleront probablement pas de souvenirs dans l’esprit du lecteur : Johannes Motschmann, Federico Albanese, Matthew Herbert, Francesco Tristano, Paul Frick, Gilad Hochmann, Ben Palmer, Fabian Russ et Henrik Schwarz… Ce sont là tous des compositeurs contemporains venus de tous les coins du monde, et qui écrivent dans des styles modernes – mais une modernité qui aurait radicalement évité l’avant-garde des années 1970. Au lieu de ça, ils acceptent volontiers l’héritage des minimalistes, des musiciens de la sphère électro-acoustique aussi, des langages populaires (on pense en particulier au Concerto pour mandoline, « Nedudim » de Gilad Hochman, inspiré de musique folklorique proche-orientale), mais toujours dans une écriture empreinte de tonalité – certes parfois poussée à ses extrémités, mais sans jamais aucun atonalisme forcé. La cuvée 2016 du festival Neue Meister de Berlin (« Nouveaux maîtres ») a donc rassemblé ces musiciens, dont plusieurs jouent leurs propres œuvres autour du Deutsches Kammerorchester Berlin, pour cet album enregistré en concert. Une vision tout à fait différente de la musique d’aujourd’hui !