BBC Scottish Symphony Orchestra, Vadim Repin, Donald Runnicles - James Macmillan: Violin Concerto & Symphony No. 4 (2016) [Hi-Res]

  • 28 Nov, 07:50
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Artist:
Title: James Macmillan: Violin Concerto & Symphony No. 4
Year Of Release: 2016
Label: Onyx Classics
Genre: Classical
Quality: flac lossless (tracks) / flac 24bits - 96.0kHz +Booklet
Total Time: 01:05:26
Total Size: 305 mb / 1.04 gb
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Tracklist

01. Violin Concerto: I. Dance
02. Violin Concerto: II. Song
03. Violin Concerto: III. Song and Dance
04. Symphony No. 4

BBC Scottish Symphony Orchestra, Vadim Repin, Donald Runnicles - James Macmillan: Violin Concerto & Symphony No. 4 (2016) [Hi-Res]


Le compositeur écossais James MacMillan, qui a l’habitude que ses œuvres soient données par la fine fleur des musiciens et orchestres de cette planète – Rostropovitch pour son Concerto pour violoncelle, par exemple – a écrit son Concerto pour violon en 2009 précisément pour Vadim Repine qui l’a ici enregistré avec l’Orchestre de la BBC écossaise et le tout aussi écossais chef Donald Runnicles. Une œuvre alternant vivacité extrême et profond lyrisme, et dans laquelle on remarque dans le troisième mouvement l’intervention d’un narrateur et de quelques paroles marmonnées par les musiciens de l’orchestre, une comptine allemande qui apporte un élément délibérément burlesque que n’aurait pas renié un Chostakovitch. Tout le langage de ce concerto reste dans le giron de la tonalité ou, du moins, de la modalité consonante, avec des évocations de coloris orchestraux que l’on pourrait imaginer provenir de Martinů, de Prokofiev, de Britten, voire même parfois de Kurt Weill pour quelques instants cocasses dans le dernier mouvement. Voilà bien un ouvrage majeur de ce début de XXIe siècle. En complément de programme, Runnicles a choisi la Quatrième Symphonie de 2015, écrite précisément pour le soixantième anniversaire du chef ; un monument d’imagination orchestrale, scintillant et profond, dans lequel le compositeur rend hommage à un compositeur de la Renaissance, Robert Carver, dont l’austère complexité vient faire contrepoids aux colorations et aux inventions de l’orchestre. C’est ici l’enregistrement de la création mondiale, soit dit en passant.


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