Quintette Syntonia - Schumann - Franck: Piano Quintets (2006)

  • 15 Mar, 08:46
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Artist:
Title: Schumann - Franck: Piano Quintets
Year Of Release: 2006
Label: Syntonia
Genre: Classical
Quality: flac lossless (tracks) +Booklet
Total Time: 01:03:08
Total Size: 263 mb
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Tracklist

01. Piano Quintet in E-Flat Major, Op. 44: I. Allegro brillante
02. Piano Quintet in E-Flat Major, Op. 44: II. In modo d'una marcia. Un poco largamente
03. Piano Quintet in E-Flat Major, Op. 44: III. Scherzo : Molto vivace
04. Piano Quintet in E-Flat Major, Op. 44: IV. Finale : Allegro ma non troppo
05. Piano Quintet in F Minor: I. Molto moderato quasi lento
06. Piano Quintet in F Minor: II. Lento con molto sentimento
07. Piano Quintet in F Minor: III. Allegro non troppo, ma con fuoco

"Si Schumann propose le premier quintette avec piano (quatuor à cordes + piano) de l’histoire de la musique, Franck lui propose le premier « français » et livre une œuvre monumentale au constant frémissement dramatique. La juxtaposition des deux quintettes permet de mieux saisir que « romantisme », « passion » et autres sentiments n’échappent pas aux grands courants créateurs qui marquent alors des écoles très liées à leur géographie, quand bien même furent-elles ouvertes, par la voix d’esprits supérieurs, à l’innovation d’où qu’elle vienne." - Alain Meunier

​"Le couplage ambitieux que ces jeunes musiciens nous proposent aujourd’hui s’annonçait comme un challenge des plus risqués étant donné la très importante discographie que ces deux oeuvres ont suscitée. Pari gagné car c’est sans timidité ni complexe apparents que ces cinq jeunes gens ont abordé ces partitions brûlantes, y puisant une saine énergie pour guider leur interprétation en tout point remarquable – l’une des plus intéressantes entendues ces dernières années.

Certes nous gardons en mémoire les performances de Serkin allié aux Budapest (Sony), Rösel au Quatuor du Gewandhaus (Ars Vivendi), Argerich à ses amis Schwarzberg, Hall, Imai et Maisky (Emi) dans Schumann, ou de Richter et des Borodine (Philipps), de Catherine Collard et des Orlando (Lyrinx) ou encore de Levinas et des Ludwig (Naxos) dans Franck : les nouveaux venus supportent sans rougir la confrontation, d’autant que le couplage (inédit) est profondément révélateur de ce que le romantisme musical a pu laisser de plus passionné."