Bertrand Belin - Tambour Vision (Nouvelle édition) (2022) [Hi-Res]
Artist: Bertrand Belin
Title: Tambour Vision (Nouvelle édition)
Year Of Release: 2022
Label: Wagram Music - Cinq 7
Genre: French chanson
Quality: MP3 320 kbps; 16-bit/44.1kHz FLAC; 24-bit/44.1kHz FLAC
Total Time: 00:54:03
Total Size: 134; 260; 535 MB
WebSite: Album Preview
Bertrand Belin complète son album « Tambour Vision » avec une nouvelle version de son album complétée par 4 nouveaux titre, dont 3 totalement inédits : Surfaces, La figure et moi, Oiseau et « La nouvelle » titre inédit qui nous fait encore rebondir sur ce Tambour Vision : Texte moqueur et d’actualité, Bertrand Belin aiguise son minimalisme et y joint des basses aux accents Funk- New Wave, uptempo et sharp, un track à placer entre Roxy Music et Franz Ferdinand.Title: Tambour Vision (Nouvelle édition)
Year Of Release: 2022
Label: Wagram Music - Cinq 7
Genre: French chanson
Quality: MP3 320 kbps; 16-bit/44.1kHz FLAC; 24-bit/44.1kHz FLAC
Total Time: 00:54:03
Total Size: 134; 260; 535 MB
WebSite: Album Preview
Etre au monde. Comment se fait-on à l’idée d’être ici-bas, soumis aux aléas d’une existence plus surprenante que nous? Être au monde, flanqué d’une altérité avec laquelle on doit composer, pour le meilleur et pour le pire. C’est ce que raconte le septième album de Bertrand Belin. Antidote idéal à nos angoisses, nos solitudes, mixture hybride de pop francophone incitant à l’ivresse des sens et des luttes. Remède à la banalité actuelle, car refusant toutes contraintes. De la liberté, il y en a toujours eu depuis le premier album éponyme de Bertrand Belin, en 2005. Mais elle irradie ici comme dépourvue de filtres, ignorant les coquetteries et le brouillard actuel. Droit à l’âme, donc, ce Tambour Vision, confectionné dans le home studio de Bertrand Belin, en banlieue parisienne, de janvier à octobre 2021. C’était peu après le tournage de la comédie musicale des frères Larrieu, Tralala, où il confirme un talent d’acteur déjà appréciable lors de ses concerts. Cette expérience filmique n’aura pas d’incidence directe sur l’enregistrement qui s’ensuit, hormis ce sentiment de se reposer de soi-même, l’espace de quelques mois, pour les besoins d’un rôle. Une « mise en jachère », dit Belin, une régénération existentielle qui explique sans doute le « plaisir décuplé » à faire ces nouvelles chansons. Si Tambour Vision a été fait en huis clos, c’est une véritable camaraderie qui l’anime, celle partagée avec le complice de longue date Thibault Frisoni. Lequel s’est investi ces dernières années dans la collection et le maniement des synthétiseurs, ces instruments « à mi-chemin entre la production et l’interprétation ». Au fil du corpus de Belin, le synthétique s’est infiltré, occupant désormais pleinement le vocabulaire musical. Une fois réalisé et arrangé, Tambour Vision a été déposé entre les mains expertes de Renaud Letang (Manu Chao, Feist, Alain Souchon …) qui a permis d’aller au bout du processus créatif et de sublimer le potentiel des chansons. En résulte un album tout en contrastes, aussi bien sonores que sémantiques. Les boîtes à rythmes nous saisissent, la guitare se fait plus discrète tandis qu’un Mellotron, avec son souffle et ses défauts, se distingue parmi les autres claviers. D’où le vent et le cuivré. Un son instantanément familier. Et une appréhension libre du classicisme. La pulsation remplit tout. Comme un groove insidieux qui « va directement aux muscles », qui va prendre toute son ampleur sur scène. Tambour Vision. Sans qu’ils n’aient grand-chose à voir, ces deux mots vont très bien ensemble (sans paraphraser les Beatles !). Tambour, car le morceau-titre homonyme présente l’objet qui va taper le plus fort, entraînant derrière lui une procession envoûtée au fil de ses humeurs. « Tu veux ma haine ou tu veux mon amour ? » questionne ici Belin. Vision, parce que ce mot a jadis eu ses heures de gloire, tout au cours du XXe siècle, avide de nouvelles technologies, parce que Television, aussi. C’est du côté de la New York des années 70 qu’on doit rechercher certaines références du disque, du côté d’Alan Vega ou des Talking Heads menés par David Byrne, autre grand amateur de percussif.
Tracklist:
1.01 - Bertrand Belin - Carnaval (3:47)
1.02 - Bertrand Belin - Que dalle tout (3:40)
1.03 - Bertrand Belin - Tambour (3:34)
1.04 - Bertrand Belin - T'as vu sa figure (3:27)
1.05 - Bertrand Belin - Alleluia (3:49)
1.06 - Bertrand Belin - Marguerite (4:18)
1.07 - Bertrand Belin - Lavé de tes doutes (4:45)
1.08 - Bertrand Belin - National (2:56)
1.09 - Bertrand Belin - Pipe (3:23)
1.10 - Bertrand Belin - La Comédie (4:27)
1.11 - Bertrand Belin - Maître du Luth (3:00)
1.12 - Bertrand Belin - Surfaces (4:22)
1.13 - Bertrand Belin - La nouvelle (2:42)
1.14 - Bertrand Belin - La figure et moi (2:06)
1.15 - Bertrand Belin - Oiseau (3:53)