Enrico Pieranunzi, André Ceccarelli, Diego Imbert - FAURÉVER (A Tribute to Gabriel Fauré) (2024) [Hi-Res]
Artist: Enrico Pieranunzi, André Ceccarelli, Diego Imbert
Title: FAURÉVER (A Tribute to Gabriel Fauré)
Year Of Release: 2024
Label: Bonsaï Music
Genre: Jazz
Quality: Mp3 320 kbps / FLAC (tracks) / 24bit-88.2kHz FLAC (tracks)
Total Time: 53:35
Total Size: 126 / 309 MB / 1.03 GB
WebSite: Album Preview
Tracklist:Title: FAURÉVER (A Tribute to Gabriel Fauré)
Year Of Release: 2024
Label: Bonsaï Music
Genre: Jazz
Quality: Mp3 320 kbps / FLAC (tracks) / 24bit-88.2kHz FLAC (tracks)
Total Time: 53:35
Total Size: 126 / 309 MB / 1.03 GB
WebSite: Album Preview
1. Romance pour un roman (D'après Romance sans paroles Op. 17 No. 3) (6:07)
2. Bonjour Dolly ! (D'après Dolly Suite Op. 56, Berceuse) (4:43)
3. J'aime tes yeux (D'après Chanson d'amour Op. 27 No. 1) (3:56)
4. Autour de la Sicilienne (D'après Sicilienne Op. 78) (4:43)
5. Prélude pour une berceuse (D'après Prélude Op. 103 No. 1) (4:52)
6. Les fleurs de mai (D'après Mai Op. 1 No. 2) (5:03)
7. Valse pour une pavane (D'après Pavane Op. 50) (7:02)
8. Caprice In Blue (D'après Pièces brèves No. 1 Capriccio Op. 84) (4:37)
9. La nuit, la nuit (D'après Après un rêve Op. 7 No. 1) (5:18)
10. Forever Fauré (3:54)
11. Funkarolle (D'après Barcarolle Op. 44 No. 4 ) (3:27)
‘Fauréver’ ou la double intention d’Enrico Pieranunzi, en enregistrant cet hommage ‘jazz’ à Gabriel Fauré, d’honorer l’éternelle beauté des œuvres de ce grand compositeur tout en soulignant la nécessité, en ces nouveaux temps modernes, de continuer de rêver. Au fil des années Enrico Pieranunzi a développé une relation de complicité silencieuse avec la musique de Fauré. Chaque fois qu’il jouait ses barcarolles ou nocturnes ou lorsqu’il écoutait ses musiques de chambre il en restait le souffle coupé. C’est pourquoi Bonsaï Music, après avoir produit les deux précédents albums du trio qu’il forma avec André Ceccarelli et Diego Imbert a immédiatement accepté d’enregistrer ‘Fauréver’. Dans ce nouveau projet, Enrico Pieranunzi souhaitait honorer le prochain 100ème anniversaire de la disparition de Gabriel Fauré. Pour ce faire, Enrico Pieranunzi s’est attaché à relire une grande partie de la musique de Fauré au piano, à s’en imprégner totalement en ‘plongeant ses mains’ dans ses sons, se réjouissant une fois de plus de la redécouverte des solutions mélodiques et harmoniques du Maestro. Ce faisant, un phénomène excitant de "germination" s'est produit, par lequel d'autres musiques sont nées de la sienne. Un processus puissant et émouvant qui s’entend dans plusieurs titres de cet album, comme le Prélude pour une berceuse, la formidable Valse pour une pavane, Autour de la sicilienne, Caprice in blue ou La nuit, la nuit d’après le très célèbre Après un rêve. Les autres titres de l’album sont le résultat d'une sorte de jeu musical : prendre un thème et en changer le tempo. Ainsi, la quatrième barcarolle du Maestro, sensuelle et fluctuante, est devenue Funkarolle un funky captivant, Mai, une des premières oeuvres de Fauré alors qu’il n’avait que 16 ans s’est métamorphosés en Les fleurs de mai une pièce de jazz swing ; Dolly, oeuvre bien connue du répertoire à quatre mains, rebaptisée Bonjour Dolly ! flirte avec le soleil d’un rythme cubain imprévisible, alors que Romance pour un roman est l’évocation Jazz-Blues de la tendre troisième Romance sans paroles Op. 17 du Maestro. Bien entendu, Enrico Pieranunzi n'aurait pas pu réaliser ce rêve de "jouer" avec la musique tant aimée de celui que Claude Debussy appelait "Le Maître de grâce" sans avoir à ses côtés les deux extraordinaires musiciens avec lesquels il a déjà par le passé enregistré et publié par le passé deux albums Jazz & Classic, à savoir André Ceccarelli, Diego Imbert, rejoints à cette occasion par la chanteuse Simona Severini et le grand clarinettiste. Gabriele Mirabassi qui a embelli les morceaux dans lesquels il joue avec sa double compétence de grand joueur de jazz et d'interprète classique raffiné. ‘Fauréver’, une invitation au rêve éternel et à la grâce tant de Gabriel Fauré qu’Enrico Pieranunzi, ici son ambassadeur.