Camel Power Club - All I Do Is Dreaming (2025) Hi-Res

Artist: Camel Power Club
Title: All I Do Is Dreaming
Year Of Release: 2025
Label: Bramar Records
Genre: Electronic, French Pop, Indie Pop
Quality: 320 / FLAC (tracks) / FLAC (tracks) 24bit-44.1kHz
Total Time: 37:15
Total Size: 86 / 214 / 402 Mb
WebSite: Album Preview
Tracklist: Title: All I Do Is Dreaming
Year Of Release: 2025
Label: Bramar Records
Genre: Electronic, French Pop, Indie Pop
Quality: 320 / FLAC (tracks) / FLAC (tracks) 24bit-44.1kHz
Total Time: 37:15
Total Size: 86 / 214 / 402 Mb
WebSite: Album Preview
01. Don't Make It a Song (feat. Pedro Blue) (3:55)
02. All I Do Is Dreaming (4:33)
03. A Devil's Bargain (3:28)
04. Till We Get Better (1:26)
05. Shalalala Etc. (3:18)
06. A Trip To Nowhere (5:32)
07. It Was September 28th (2:38)
08. Can I Tell You a Secret (3:09)
09. Looking For the Answer (5:02)
10. Celestial Spaghetti Machine (feat. Just Jack) (4:17)
Pour celleux qui ne le savent pas encore, c’est qu’on suit avec attention les aventures musicales de Camel Power Club. La dernière fois que nous avions eu des nouvelles de leur part, il fallait remonter à l’année 2022 avec leur second album nommé Narukanaga, qui fut sacrément mémorable. Tandis que le printemps pointe le bout de son nez, ils font leur grand retour avec leur successeur qui s’intitule All I Do Is Dreaming.
Se voulant plus concis et allant droit au but contrairement à son grand frère, ce nouveau disque nous invite à lâcher prise et à laisser nos idées s’envoler. Le ton est donné dès les premières notes de « Don’t Make It A Song » où l’interprétation éthérée de Léa fait écho aux mélodies résolument solaires et dépaysantes qui font un malheur notamment sur le morceau-titre qui suit mais aussi sur « A Devil’s Bargain » et « Shalala Etc. ».
Chaque morceau est un voyage vers l’inconnu, vers une destination utopique et paradisiaque où on se laisse enivrer par ces influences tantôt pop tantôt electronica. Cette variété des sons et cette mélancolie lumineuse viendront nous surprendre que ce soit sur « A Trip To Nowhere » ou sur « It Was September 28th » aussi bien chill que cosmiques. Léonard et Léa viendront tirer leur épingle du jeu avec cette myriade de sonorités envoûtantes qui iront tutoyer les sommets avec « Looking For An Answer » et la conclusion enjouée du nom de « Celestial Spaghetti Machine » en compagnie de Just Jack en personne, ce qui n’est pas rien. Une autre preuve que Camel Power Club continue de mettre du baume au cœur de son auditoire avec leur musique aussi bien solaire qu’interstellaire mais ô combien enivrante.
Se voulant plus concis et allant droit au but contrairement à son grand frère, ce nouveau disque nous invite à lâcher prise et à laisser nos idées s’envoler. Le ton est donné dès les premières notes de « Don’t Make It A Song » où l’interprétation éthérée de Léa fait écho aux mélodies résolument solaires et dépaysantes qui font un malheur notamment sur le morceau-titre qui suit mais aussi sur « A Devil’s Bargain » et « Shalala Etc. ».
Chaque morceau est un voyage vers l’inconnu, vers une destination utopique et paradisiaque où on se laisse enivrer par ces influences tantôt pop tantôt electronica. Cette variété des sons et cette mélancolie lumineuse viendront nous surprendre que ce soit sur « A Trip To Nowhere » ou sur « It Was September 28th » aussi bien chill que cosmiques. Léonard et Léa viendront tirer leur épingle du jeu avec cette myriade de sonorités envoûtantes qui iront tutoyer les sommets avec « Looking For An Answer » et la conclusion enjouée du nom de « Celestial Spaghetti Machine » en compagnie de Just Jack en personne, ce qui n’est pas rien. Une autre preuve que Camel Power Club continue de mettre du baume au cœur de son auditoire avec leur musique aussi bien solaire qu’interstellaire mais ô combien enivrante.