Singapore Symphony Orchestra, Hoey Choo - Ippolitov-Ivanov: Symphony No. 1, Op. 46, Turkish Fragments, Op. 62 & Turkish March, Op. 55 (2015)

Artist: Singapore Symphony Orchestra, Hoey Choo
Title: Ippolitov-Ivanov: Symphony No. 1, Op. 46, Turkish Fragments, Op. 62 & Turkish March, Op. 55
Year Of Release: 2015
Label: Naxos
Genre: Classical
Quality: flac lossless (tracks) +Booklet
Total Time: 00:55:48
Total Size: 217 mb
WebSite: Album Preview
TracklistTitle: Ippolitov-Ivanov: Symphony No. 1, Op. 46, Turkish Fragments, Op. 62 & Turkish March, Op. 55
Year Of Release: 2015
Label: Naxos
Genre: Classical
Quality: flac lossless (tracks) +Booklet
Total Time: 00:55:48
Total Size: 217 mb
WebSite: Album Preview
01. Symphony No. 1 in E Minor, Op. 46: I. Adagio - Allegro risoluto
02. Symphony No. 1 in E Minor, Op. 46: II. Scherzo. Allegro
03. Symphony No. 1 in E Minor, Op. 46: III. Elegia. Larghetto
04. Symphony No. 1 in E Minor, Op. 46: IV. Finale. Allegro moderato
05. Turkish Fragments, Op. 62: I. Caravan
06. Turkish Fragments, Op. 62: II. At Rest
07. Turkish Fragments, Op. 62: III. Night
08. Turkish Fragments, Op. 62: IV. Festival
09. Turkish Fragments, Op. 62: Turkish March, Op. 55
À l’époque soviétique, il pouvait être très utile pour un compositeur de se pencher sur les fonds folkloriques et populaires des diverses républiques, minorités ou ethnies qui composaient l’Union. Khatchaturian pour l’Arménie, ou encore Amirov et Garayev pour l’Azerbaïdjan et tant d’autres. Du côté de la Géorgie puis des régions turkmènes, ce fut Ippolitov-Ivanov qui, bien que né à Saint-Pétersbourg, se tourna rapidement vers les accents folkloriques de ces peuples. Cet enregistrement offre deux des pans de l’art de ce compositeur hélas un peu tombé dans l’ombre : la première symphonie de 1908, encore toute empreinte de la Mère Russie, suivie de la Marche turque de 1926 et surtout les Fragments turcs de 1930, une véritable exploration de ce que les janissaires nous ont légué pour la partie turque, mais aussi des musiques azerbaïdjanaises, ouzbeks et kazakhs d’une immense richesse. Mikhaïl Ippolitov-Ivanov, voilà bien un compositeur soviétique à redécouvrir.