Olivier Baumont & Julien Chauvin - à madame: divertissement pour adelaïde (2017)

  • 20 Jan, 09:06
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Artist:
Title: à madame: divertissement pour adelaïde
Year Of Release: 2017
Label: Aparté
Genre: Classical
Quality: flac lossless +Booklet
Total Time: 00:52:21
Total Size: 319 mb
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Tracklist
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01. Sonnerie de la pendule de Jean-Joseph de Saint-Germain
02. I. Allegro moderato
03. II. Adagio
04. III. Allegro
05. I. Largo
06. II. Allegro
07. III. Adagio
08. IV. Minuetto Allegro ma poco
09. Maestoso de la Sonata IV en La Mineur, pour clavecin et violon
10. Airs de la pendule à musique de Marc-Antoine Le Nepveu
11. I. Ouverture. Lentement-Allegro
12. II. 1ère Gavotte. Gracioso-2e gavotte. Mineur
13. III. 1ère Gavotte. Gracioso-2e gavotte. [majeur]
14. Aria Gratioso de la Sonata 1ère en Sol Majeur pour violon et clavecin
15. Les Sauvages de Jean-Philippe Rameau avec des variations, pour deux violons
16. Airs de la pendule à musique de Marc-Antoine Le Nepveu dite "de la Méridienne"
17. I. Allegro
18. II. Aria Prima Gratioso. Majeur
19. III. Aria Tempo di Minuetto


L’Adélaïde en question étant l’une des huit filles de Louis XV et de Marie Leszcinska ; née en 1732, elle devint « Madame » à la mort de sa sœur aînée, et s’éteignit en 1800 en Italie – elle aura quand même survécu à la Révolution ! Mais à l’heure de sa grande gloire, elle et ses sœurs furent de grandes consommatrices de musique et nombreux sont les compositeurs qui gravitèrent autour des princesses, et leur dédièrent des œuvres nouvelles. Cet album est concocté par Olivier Baumont, qui joue un clavecin Blanchet de 1746, et Julien Chauvin qui joue un violon Gagliano des années 1741, dit « de Madame Adélaïde ». Les deux instruments appartiennent à la collection versaillaise et c’est d’ailleurs dans le Grand Cabinet de Madame Victoire – une autre des princesses royales – qu’eut lieu l’enregistrement. Et quasiment toutes ces œuvres, qu’elles soient de Balbastre, Rameau, Cardonne, Simon et Davergne, furent en effet écrites ou arrangées pour les diverses filles du roi. De les entendre sur le violon d’Adélaïde, dans les salons de Victoire, avec de-ci, de là, la sonnerie de la pendule de Victoire afin de marquer le temps qui passe (ou encore le délicieux carillon d’une autre pendule, fabriquée quelques années avant la Révolution), tout cela nous renvoie quelque 250 ans en arrière à la cour versaillaise, sonorités y compris… Notez que toutes les œuvres sont ici données en première discographique mondiale.



  • platico
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Gracias...
  • tiger
  •  22:50
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Thanks a lot.