Pierrick Pedron - Unknown (2017) [Hi-Res]
Artist: Pierrick Pedron
Title: Unknown
Year Of Release: 2017
Label: Universal Music Distribution Deal
Genre: Jazz
Quality: mp3 320 kbps / flac lossless / flac 24bits - 44.1kHz
Total Time: 00:49:59
Total Size: 114 / 282 / 528 mb
WebSite: Album Preview
TracklistTitle: Unknown
Year Of Release: 2017
Label: Universal Music Distribution Deal
Genre: Jazz
Quality: mp3 320 kbps / flac lossless / flac 24bits - 44.1kHz
Total Time: 00:49:59
Total Size: 114 / 282 / 528 mb
WebSite: Album Preview
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01. Unknown
02. Mum's Eyes
03. Val Andre
04. Mister Miller
05. A Broken Reed
06. Trolls
07. Enjoy The Silence (Short Version)
08. With The 2 B's
09. Petit Jean
10. Enjoy The Silence (Long Version)
Depuis Cherokee, son premier disque, en 2000, Pierrick Pédron n’a cessé de se renouveler en variant ses formations tout en restant fidèle à son style de saxophone alto qui marie irrésistiblement énergie et lyrisme, à l’instar de Charlie Parker, dont il n’a pourtant pas repris le vocabulaire. Unknown est son neuvième album, il y retrouve la formule classique du quartet, du soliste avec section rythmique. Lui qui avait exploré les possibilités de larges groupes avec sons synthétiques dans Omry et Cheerleaders, puis celles du trio avec Kubic’s Monk et Kubic’s Cure s’épanouit ici avec un jeune pianiste, Carl-Henri Morisset, son complice de toujours le contrebassiste Thomas Bramerie et un fameux batteur américain, Greg Hutchinson, au dynamisme impétueux. Ayant commencé son parcours discographique avec Baptiste Trotignon, poursuivi avec le maître Mulgrew Miller, Pédron aime les pianistes qui stimulent son sens mélodique ; il lui fallait à présent l’effervescence rythmique d’un batteur exceptionnel pour donner toute sa portée à son style d’improvisateur, comme on le dit d’une fusée. Ses compositions aussi avaient besoin d’une charge rythmique tantôt puissante, tantôt délicatement retenue. La première, Unknown, swinguant sur une structure d’anatole astucieusement renouvelé, évoque à la fois Eric Dolphy et Charles Mingus, et c’est une entrée en matière époustouflante. Pédron donne ensuite, avec Mum’s Eyes, une émouvante ballade qui se meut sur des accords subtils. La suite procède aussi par alternance de morceaux joyeusement rythmés et de thèmes très mélodiques. Du jazz au sommet qui vous prend corps et âme.